Paris Nicolino "SDHI ça vous dit?" signez l'appel des coquelicots!
Et maintenant la grande bataille des SDHI
Ils sont épandus sur la presque totalité de la surface agricole. Le blé, l'orge, les tomates, les pommes de terre, les arbres fruitiers, les semences, les stades de foot, les terrains de sports sur lesquels s'égayent nos enfants... les SDHI, c'est leur nom, sont des fongicides dont presque personne ne connait l'existence, mais qu'on retrouve dans les urines des deux tiers des femmes enceintes testées.
Or des scientifiques de réputation mondiale affirment que les SDHI sont une menace pour la santé de tous les êtres vivants. Celle des champignons, celle des vers de terre, celle des baleines, celle des abeilles. Et celle des hommes.
Car ils s'attaquent à la fonction respiratoire des cellules, la SDH. Chez les humains, les atteintes à la SDH conduisent à des maladies neurologiques graves et au cancer.
Et personne ne nous protège. Car dument prévenue, l'agence chargée de notre protection, l'Anses, a fait la morte, avant d'innocenter les SDHI par des manœuvres scandaleuses*.
Amis des coquelicots, depuis une année nous exigeons protection. Des maires héroïques s'y essaient avec leurs arrêtés; continuons à les soutenir et à les encourager! Il est plus que temps de démanteler le système criminel des pesticides, à commencer par l'Anses, cette agence sanitaire complice dont nous devons tous réclamer la dissolution, en tous points du territoire.
Pourvu que vos vacances aient été reposantes. Pourvu, car le mouvement des Coquelicots affirme que l'heure de la désobéissance civile est venue. Première grande action nationale de l'an 2: vous organiser pour couvrir la France de notre saine révolte. Sous forme d'affichettes coups de poing, que nous allons vous envoyer gratuitement par milliers. Surveillez le site pour passer commande et investir les écoles, les panneaux municipaux, les abribus, les marches des institutions, les poteaux télégraphiques, les stations de métro et de tram. Partout.
Il ne faut pas avoir peur de la révolte.
L'association « Nous voulons des coquelicots »